Notes familiales mariage: Le 21 janvier 1721 après les trois publications selon les ordonnances de l'église catholique, j'ai soussigné donné la bénédiction nuptiale à Jean BASSEREAU accompagné de Margueritte MECHINEAU 32 ans environ domicilié en cette commune et Marthe DELAVERGNE fille de défunt Nicolas DELAVERGNE et de défunte Françoise Marchand 28 ans environ née à RAZINET En présence de Anne BONNET mère de l'époux Vincent BASSEREAU frère Vincent GADE beau frère de l'époux Jacques DELAVERGNE frère Antoine et Vincent PASQUIER cousins germain Le curé de NUEIL SOUS FAYE temoin mariage: Anne BONNET, titre: Présent mère temoin mariage: Vincent BASSEREAU (-1772), titre: Témoin frère temoin mariage: Vincent GADESAUD, titre: Témoin beau frère du futur temoin mariage: Jacques DELAVERGNE, titre: Témoin frère temoin mariage: Antoine PASQUIER, titre: Témoin temoin mariage: Vincent PASQUIER, titre: Témoin

Notes familiales

Union avec Françoise LECONTE: mariage: Le 14 avril 1813 par devant nous maire de MAULAY canton de LOUDUN département de la Vienne sont comparus André BASSEREAU cultivateur 30 ans fils majeur de Vincent BASSEREAU et de Marie GABILLE domiciliés en cette commune et Françoise LECONTE 23 ans fille majeure de Vincent LECONTE domicilé en cette commune et de défunte Marie BERGER décédée à VILLIERS Pas de contrat ni oppo En présence de Vincent BASSEREAU père Vincent LECONTE père Jean BASSEREAU cultivateur 41 ans frère Mathiue LECONTE cultivateur 35 ans frère Le maire temoin mariage: Vincent BASSEREAU (-1817), titre: Présent père temoin mariage: Vincent LECONTE, titre: Présent père temoin mariage: Jean BASSEREAU (-1834), titre: Témoin frère temoin mariage: Mathieu LECONTE, titre: Témoin frère Union avec Louise CHARTIER: mariage: Le 10 mai 1823 par devant nous maire de NUEIL sous FAYE canton de MIREBEAU département de la Vienne sont comparus André BASSEREAU 39 ans né en cette commune le 30 novembre 1783cultivateur veuf en première noce de défunte Françoise LECONTE décédée le 9 août 1822 en cette commune fils majeur de défunt Vincent BASSEREAU proprio décédé le 12 février 1817 en cette commune et de Marie GABILLE agée de 72 ans domiciliée en cette commune ici p et c et Louise CHARRIER 39 ans née à POUANT le 1 août 1783 journalière domiciliée à RICHELIEU fille majeure de défunt Louis CHARTIER cultivateur décédé à POUANT le 2 germinal an 12 (23 mars 1804) et de défunte Madeleine CAROIS décédée à RICHELIEU le 29 janvier 1818 Pas de contrat ni oppo En présence de Vincent Paul BASSEREAU 27 ans cultivateur frère Pierre AIRAULT 25 ans journalier ami François CHARTIER 45 ans journalier frère François CHARTIER 21 ans domestique neveu Le maire temoin mariage: Vincent Paul BASSEREAU, titre: Témoin frère temoin mariage: Pierre AYRAULT, titre: Témoin ami temoin mariage: François CHARTIER, titre: Témoin frère temoin mariage: François CHARTIER (1802-), titre: Témoin neveu

VINCENT BASSEREAU,Nueil sous Fayes 179561852 mon aieul marié avec Fleurance Cloury décédée en 1876 à Poitiers qui ont eu 2 enfants -Vincent Pol 1819 -Vincent 1824 -Pierre 1828 -François 1830 -Charles 1831 - LOUIS BASSEREAU 1822 à Poitiers

MON AIEUL marié à Jeanne Gastelier 1833, ils ont eu 3 enfants -Jules Bassereau né à Poitiers 1858 -Marie Bassereau née à Poitiers 1862 -Ernestine 1871 -LOUIS BASSEREAU né à Poitiers en 1866 décédé en 1952 à Poitiers

Nueil sous Fayes dans la Vienne est le village où vivaient mes ancêtres: Il y avait Renée mariée à Jean Moreau, sa soeur Marguerite , un frère François Bassereau, Gabriel Bassereau 1637-1697, marié avec Anne Drouteau 1638-1678 son frère Gabriel Bassereau 1623-1673 avec ?? Ils ont eu deux fils Gabriel 1651 décédé en 1709

Vincent Bassereau 1654-1705 marié à Anne Bonnet 

Né le 30 décembre 1700 - Nueil sous Faye,86200,Vienne,Poitou Charentes,FRANCE Décédé le 16 août 1772 - Maulay,86200,Vienne,Poitou Charente,FRANCE , à l’âge de 71 ans Tailleur d'habit du village de Montagré Parents Vincent BASSEREAU 1654-1709 Anne BONNET 1668-1728 Union(s) et enfant(s) Marié le 3 juillet 1724, Nueil sous Faye,86200,Vienne,Poitou Charentes,FRANCE, avec Jeanne RAVION 1702-1770 (Parents : Charles RAVION 1655-1713 & Henriette FILLEUL 1661-1734) dont Vincent BASSEREAU 1725-1753 marié le 26 novembre 1750 avec Marie LECONTE 1730- Jean BASSEREAU 1727- marié le 12 novembre 1755 avec Jeanne BEAUVILAIN Jeanne BASSEREAU 1729-1732 Marie BASSEREAU 1731-1800 mariée le 10 février 1755 avec Louis BOYER 1729-1803 Louis BASSEREAU 1741-1741 Vincent BASSEREAU 1744- Jeanne BASSEREAU mariée le 10 novembre 1760 avec Mathieu BOUREAU Noël BASSEREAU 1735-1736 Anne BASSEREAU 1737- Frères et sœurs Marguerite BASSEREAU 1683- Anne BASSEREAU 1686- Jean BASSEREAU 1686- Marie BASSEREAU 1690- Vincent BASSEREAU 1693-1693 Elisabeth BASSEREAU 1695- Elisabeth BASSEREAU 1697- Angélique BASSEREAU 1698- Agnes BASSEREAU

Vincent Bassereau 1693-1393 -Elisabeth Bassereau 1695-1697 -Elisabeth Bassereau 1697 -Angélique Bassereau 1698-1726 Mon aieul, VINCENT BASSEREAUné à Nueil en 1700 avec son épouse Jeanne Ravion 1702-1770 leurs enfants -

Vincent Bassereau 1725-1753 avec Marie Leconte 1730, ils ont eu une fille Marie 1752-1752 Nueil sous Fayes marié à Louis Boyer 1729 -Jean Bassereau 1727-1756 avec Jeanne Beauvillain -Jeanne décédée 1760 mariée avec Matthieu Bourreau -Louis Bassereau 1741 -

VINCENT BASSEREAU, 1744-1817 MON AIEUL, marié en 1770 avec Marie Gabillé 1753-1824 dont les parents étaient François et Marie Verrier. qui ont eu deux enfants - Marie 1774 -

nueil sous fayes

Gabriel ca 1620-1673 & ? ? o Gabriel †1697 &ca 1657 Anne DROUTEAU †1678 o Michelle 1666 &1697 René BESNARD o Vincente 1668-1741 &1692 Vincent RAVION †1730 ... o Michel 1669-1693 o Perrine o Marie o Catherine o Anne

o Vincent ca 1654-1709 &ca 1686 Anne BONNET †1721/ o Anne 1686-1720 &1703 Vincent GODE ca 1675-1754 o Jean ca 1689 &1721 Marthe DELAVERGNE ca 1693 o Angélique ca 1698-1726

o Vincent 1700-1772 &1724 Jeanne RAVION 1702-1770 o Vincent 1725-1753 &1750 Marie LECONTE 1730 o Marie 1752-1752 o Jean 1727 &1755 Jeanne BEAUVILAIN ca 1726-1800 o Jean 1756-1760 o Jeanne 1729-1791 &1760 Martin BOUREAU ca 1728-1791 o Marie 1731 &1755 Louis BOYER 1729 o Anne 1737-1738 o Louis 1741

o Vincent 1744-1817 &1770 Marie GABILLY 1752-1824 o Vincent 1771 o Jean 1772-1834 &1805 Marie PERDRIAU 1786-1850 o Marie 1806- o Madeleine 1813- &1854 François LEBLED ca 1805- o Mathieu 1822- &1849 Anne SAVATON 1825- o Françoise 1826- &1851 Charles Vincent DUBALLET 1804-1882/ ... o Joseph 1831- &1860 Anne RAVION 1837- o Marie 1774-1826 &1808 Vincent RAVION 1772 o Jeanne Radégonde 1780-1780 o Jeanne 1782 &1809 Vincent BEAUCHESNE 1782 o André 1783 &1813 Françoise LECONTE 1787-1822 o André 1783 &1823 Louise CHARTIER 1783 o Louis 1786-1791 o Vincente 1789-1789

o Vincent Paul 1796 o Agnès 1707 &1743 Gatien GANNIER 2. o Louis 1824- & Joséphine MENANTEAU 1826- o Louise 1852-1875 &1874 Charles DUBALLET 1852-1925 ... 3. o Louis 1857- 4. o x & ? ? o Charles

o Louis †1737 &1712 Marie GOUIN †1724 o Louis 1714-1781 &1739 Marie DEBLAYE †1763

o Marie 1741 &1769 Jean CHEVALIER o Louis 1743 o Jeanne 1746-1748 o François 1750-1826 &1780 Marthe GOUIN 1757-1823 o Citroine Marthe 1781-1781 o Marthe 1782

o Jeanne 1784 &1813 Antoine SAVOIE 1790 ... o Marie 1786 o François 1787-1858 &1813 Marie BECASSEAU †1842 o Jules François 1816- &1841 Anne PICARD o

Jules 1845- &1869 Jeanne PERDRIAU 1851-1934 o Félicité Marie 1819-1852 &1845 Louis THIBAULT 1818- o Clarisse 1822-1880 &1846 Pierre HERIGAULT 1818-1884 ... o Victor 1825-1825 o

Auguste 1829- &1857 Marie HERIGAULT 1837- o Anne 1790 o Pierre 1797-1845/ &1822 Anne SAVOIE 1791-1860 o Françoise 1825-1852 &1845 Pierre PERDRIAU 1821- ... o Pierre 1828- o Jean 1831-

o Louise 1753 &1777 Pierre GOUIN ... o Charles 1715-1784 &1746 Perrine LAURIN 1727-1809 o Germain o Charles & ? ?

o Charles †1826 & Louise BAUDOUIN o Joseph o Pierre o Marie o Jean o Magdeleine

On trouve les premières traces de Nueil dans le cartulaire de Cormery en 892: ecclesia dicto Niolo; puis Milo de Niul, 1085; ecclesia de Niolo au XIIe siècle; Nueil, 1421; Nueil soudz Faye 1477; Nyolium Subtus Fayam, 1478; Sainct George de Nueil, 1516; Nueuil-sous-Faye, 1649; Nueil-sous-Faye 1779; Saint-George-de-Nieuil-Sous-Faye, 1782. Avant la Révolution, cette commune faisait partie de l'archiprêtré de Faye-la-Vineuse [environ à 6 km au sud-est et aujourd'hui en Indre-et-Loire], du duché-pairie et de l'élection de Richelieu, généralité de Tours. La cure était à la nomination du chapitre de Faye-la-Vineuse. (Ces renseignements toponymiques, comme ceux qui suivent, sont tirés du Dictionnaire de Redet). Les écarts les plus importants sont : Neuville : ancienne seigneurie Montagré: Ainardus de Montagre, 1061 Boso de Monte Agrio,1089 de Monte Agriaco 1116 Montagré, 1453 Le fief de Montagré, appelé aussi le Rideau, relevait du château de Loudun. Jallet : château La Brise. La Maurinerie : La Morinerye,1575 La Maurinière; La Morinerie. Ancien fief relevant de la Motte de Boché. Dans les bois des Roches, les chênes ont remplacé les hêtres (fagus), "Sous le dôme d'un hêtre", dit Virgile au début des Bucoliques, à l'origine du nom de la petite commune située en bordure de la Touraine. La clairière nouvelle évoquée dans le nom "niolo" dès le IXe siècle, renseigne sur l'importance de la forêt au Moyen Age, baignée comme aujourd'hui encore par le Mâble. Sur sa butte, le village garde jalousement les vestiges de ses heures de gloire du XVIIe siècle, époque que le Cardinal de Richelieu a largement marquée de son empreinte. Un hypogée rectangulaire de la deuxième période gallo-romaine, fut trouvé en 1901. Une chambre sépulcrale de 3 m2 était couverte d'une voûte en berceau plein cintre. Elle comportait une porte dont l'arc était composé de claveaux en pierre, intercalés de quatre autres en brique. Il ne contenait qu'un sarcophage simple avec cercueil en plomb. Cet hypogée a été entièrement détruit.

Le petit château

Le Petit Château, situé dans le bourg de Nueil est constitué d'un corps de logis Louis XIII, construit sur des fondations plus anciennes, (celles d'une tour carrée du XV ème siècle entourée de murailles). Il est formé de deux grandes pièces à haut plafond et d'un étage qui était desservi par une tourelle d'escalier; le tout est surmonté d'un grand comble avec girouettes au dragon couronné. L'ensemble paraît avoir été construit à l'identique avec l'un des pavillons d'angle du château ancien de Richelieu. Ce corps de logis a été agrandi de part et d'autre à l'époque de Louis XIV puis au Nord-Ouest sous Louis XV. Depuis il n'a pratiquement pas subi de modification. Un grand mur d'enceinte avec des arbalétriers de défense Louis XIII ceinture un ensemble formé du Petit Château, d'une ferme, et d'un pigeonnier ancien, de style roman. La " terre de Nueil" était constituée de ce domaine appelé "le parc du château" et de nombreuses fermes dont : les fermes de Narçay, de la Saudaye, de la Bourie, de la Mission, de l'Ormeau, du Crozé, des Trois Cheminées... La famille de Chézelles a d'abord été propriétaire de la seigneurie de Nueil du XVe siècle jusqu'au début du XVIIIe. Jean de Chézelles en 1638 reconstruit son château sur le plan des maisons nobles de Richelieu . En 1650 Marie de Chezelles épouse Géraud de Cordemoy, philosophe et historien, qui habitera le château. Leur fils Jacques en héritera. Il portait le titre de "seigneur de Narcé". Il meurt vers 1700. Suivant un arpentage de 1658, demandé par Marie de Chézelles, la seigneurie de Nueil était constituée de deux maisons nobles de Nueil et de Narçay devenues mitoyennes au centre du bourg (le château actuel). En 1701, la seigneurie de Nueil fut saisie aux requêtes du palais de Paris : elle était alors dans un état complet d'abandon, ses bâtiments non entretenus et resta dix années ainsi. En 1711, Bertand Poirier des Bournais, frère du premier médecin du roi, Louis Poirier, s'en rendit acquéreur et effectua les réparations nécessaires. Il eut quatre fils. Le quatrième Louis désigné sous le nom de Louis Poirier de Narçay vécut au château avec son épouse Marie-Catherine Torterue (décédée en 1673 au château et inhumée en l'église de Nueil). Le domaine s'étendait alors sur plus de 350 hectares Son fils Louis-Bertrand Poirier de Narçay, seigneur de Nueil fut privé de ses droits sous la Terreur. Il les recouvra pleinement sous le Consulat. Veuf de son épouse, Geneviève Torterue, il épousa en secondes noces, en 1803, Françoise Du Gazeau et retourna vivre au château. C'est aussi là que vécurent son fils François-Bertrand et son petit-fils Alexandre-Bertrand Poirier de Narçay. Son arrière petit-fils, Gustave Marie Robert Poirier de Narçay, né en 1859 passa également une partie de son enfance au château. Alexandre-Bertrand Poirier de Narçay vend en 1870 le château et son domaine. Mais il conservera la jouissance du château jusqu'à sa mort en 1886. Les acheteurs sont des cousins éloignés, les époux Poirier-Jautrou, qui habitaient le château de La Pichardière situé sur la commune de Chaveignes. Ceux-ci ont revendu après 1886, le château aux familles Vallet et Cognard dont les descendants sont les actuels propriétaires.   Texte par JCRaymond

En remontant le temps on verra que les paysages se sont transformés, mais on a conservé des exemples de ces paysages ailleurs. On voit que la vigne a tiré son épingle du jeu quelles que soient les époques : Les vins du Loudunais sont exportés en Hollande vers les années 1800.

La vienne avait du retard par rapport à d'autres régions (d'où les propos de Necker), retard quant à l'utilisation des outils dans le domaine de l'agriculture, qui faisait que des terres riches étaient mal mise en valeur. Dans ce document, on décrit le repas du Loudunais, son logement...

Il existe des mêmes documents dans d'autres régions où on voit que la vie était bien plus difficile, comparée aux mêmes époques. On parle du râpé de vin fait avec le moût du raisin, les pommes, les prunelles, les cormes. Je ne sais si cela se fait de nos jours. Pour quelqu'un qui ne vit pas dans la région, il y a des termes comme bernache, moût, vin bourru, le marc, etc... qui sont mystérieux. Dans les années 90, j'étais dans la région à l'époque des vendanges, je voulais faire connaître la bernache 

On se rappelle que Loudun, parmi d'autres produits estimés de ses fermes, était renommé dans la France entière par ses chapons, luxe des tables féodales mentionné plus d'une fois dans les romans de chevalerie. Aujourd'hui Loudun, à défaut de chapons dont d'autres contrées se chargent, d'approvisionner les tables riches, élève des oies en grande quantité. Cette sorte d'élevage profite à toute une classe de petits cultivateurs et de journaliers qui en a presque le monopole, la grande ferme refusant habituellement de s'en occupait

Avant la révolution, cette commune faisait partie de l'archipetré de Faye la Vineuse ( environ à 6kms au sud est et aujourd'hui en Indre et Loire ) du duché pairie et del'élection de Richelieu, généralité de Tours. La cure était à la nomination du chapitre de Faye la Vineuse ( ces renseignements sont tirés du dictionnaire de Redet. - Neuville : ancienne seigneurie - Montagré : Ainardus de Montagre 1061 - Boso de Monté Agrio 1089 - de Monté Agriaco 1116 - Montagré 1453 - Le fief de Montagré appelé aussi le rideau relevai du chateau de Loudun - Jallet ; chateau - La Brise -La Maurinerie : la Morinerye 1575 - LA Morinerie - Ancien fief relevant de la Motte de Boché